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6 février 2013 3 06 /02 /février /2013 13:56

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Présentation de l'éditeur : Un père emmène ses deux filles en vacances d’été à Ouessant. Il se remet mal de son divorce, d’avoir perdu leur garde, n’arrive pas à leur dire qu’ils sont là en souvenir d’un ami d’enfance à Lyon, originaire de l’île natale, qui prenait sa défense quand on le traitait d’Arabe ou d’étranger. Lui s’est toujours senti lyonnais même s’il garde la nostalgie des départs sur le Ville de Marseille l’été pour Alger. La pluie incessante, le regret des filles d’avoir quitté leur mère, la mélancolie qu’il essaie d’endiguer à coups d’enjouements surfaits et de promenades à vélo, la rencontre d’une belle rousse qu’il aurait pu aimer, l’émouvante confession du loueur de vélos font de cette semaine bretonne à la fois un hors temps, un examen de passage familial et une mise au point pour ce père déboussolé qui veut avant tout être aimé.
Salam Ouessant a le charme et la mélancolie d’une île entre pluie et nuages qu’éclaire fugitivement le soleil, les personnages n’y ont que l’assurance fragile d’un bonheur à défendre et la sincérité émouvante d’y prétendre. Comme dans tous ses romans, plus ou moins autobiographiques, Begag y évoque le paradoxe d’être d’origine maghrébine, considéré comme étranger et qui plus est arabe, donc en gros voleur de pain des Français de souche
Biographie de l'auteur : Né à Lyon en 1957 de parents algériens, Azouz Begag est chercheur en sociologie au CNRS. Le gone du Chaâba, son premier roman paru en 1986, a connu un immense succès.

 

"N'ayant jamais lu de livre de cet auteur, je m'attendais à une gentille comédie, sur fond de famille dé/re-composée et de Bretagne. J'y ai trouvé des questions sur le divorce et la difficulté à vivre séparé de ses enfants. des réflexions sur l'intégration et l'identitté quand on vient d'ailleurs.

C'est une histoire touchante et pathétique bien écrite. Il y a également de l'humour, bref un bon moment de lecture ..."

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25 juillet 2012 3 25 /07 /juillet /2012 13:56

 

Présentation de l'éditeur :Le narrateur est né en Algérie quand elle était française. Il sort de l'adolescence alors que la guerre d'indépendance commence. Un soir, devant la baie d'Alger, il est traversé par la certitude que l'univers où il a grandi est condamné à disparaître. Mais, à quinze ans, la lucidité est une vertu encombrante. Il préfère les élans de son âge. tenter de séduire les filles. Discuter avec Solal, camarade de classe et frère d'élection. S'enflammer pour Proust grâce  à un éblouissant professeur qui mène, hors du lycée, de mystérieuses activités. Pêcher avec Bouarab sur la plage de Surcouf. Découvrir que les gens ne sont jamais ce qu'on croit qu'ils sont. Cependant, la violence des événements s'accélère. Comment résister? Dans cet apprentissage, Zoé, sa grand-mère, l'accompagne. Généreuse, elle reste aussi proche du président Steiger, le meneur des colons, que du garçon arabe avec qui elle partage son café du matin. Elle avance, avec sa force de vie, sans gémir sur le paradis perdu. 
Biographie de l'auteur : Louis Gardel est né à Alger et vit à Paris. Il a publié huit romans au Seuil, dont Fort Saganne, La Maison du Guerrier, L'Aurore des bien-aimés. Il a aussi écrit une douzaine de films pour le cinéma et la télévision.

La critique evene  Evene par Thomas Flamerion :

Il est des livres forts, des récits captivants qui oscillent entre le romanesque de l’aventure et les vertiges de la grande histoire. Il est des romans simples, fluides, évidents. ‘La Baie d’Alger’ est un peu tou t cela à la fois. Evocation des conflits “fratricides” qui allaient rester dans les livres sous le nom de guerre d’Algérie, roman d’initiation et chronique des derniers instants de bonheur avant l’exil, le nouveau roman du trop rare Louis Gardel - il n’avait rien publié depuis ‘Grand seigneur’ en 1999 - absorbe et transmet la mémoire de toute une génération de pieds-noirs. Son Alger est celui de l’adolescence, passée aux côtés de sa grand-mère Zoé et de ses amies originales et exaltées. C’est aussi la ville des amitiés viriles et des premiers émois sur la plage de Surcouf. C’est surtout le berceau de l’érudition, aux côtés d’intellectuels, de politiques, mais aussi, le temps d’une poignée de main, du grand Albert Camus. Bien sûr, la fiction exige de romancer, mais l’imminence du départ et l’accélération des événements donnent à ce texte un sentiment d’urgence, une gravité qui vient se heurter aux souvenirs de l’enfance privilégiée et insouciante. Si Louis Gardel se place naturellement dans la société de ces Français qui durent quitter leur terre natale, il n’oublie pas de g lisser son regard du côté des colonisés. La nostalgie de la dépossession laisse alors place aux désirs d’indépendance et aux engagements courageux de ceux qui croyaient qu’une cohabitation, même après l’assujettissement, était possible. Mais quelque souvenir qu’il réveille, le parti pris de concentrer son roman sur l’année 1955, à l’heure où la guerre n’a pas encore fait trop de ravages, permet à Louis Gardel de rester relativement neutre et de ne pas froisser les sensibilités. Ecrit à l’encre bleu tendre des souvenirs, sobre et classique, ‘La Baie d’Alger’ est un édifiant témoignage historique aux accents rafraîchissants de récit initiatique.

 

Un grand plaisir de lecture, qui pour moi à mit en lumière d'une autre manière "les évènements".

 


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6 septembre 2011 2 06 /09 /septembre /2011 15:16

 

La librairie "Les Beaux livres de Provence" de Bourg St-Andéol est un régal pour les yeux et pour la bibliothécaire que je suis ...

Cette librairie est établie dans une ancienne chapelle et a gardée les fresques existantes. Regardez bien ...

 

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C'est en endroit que je ne manque jamais de visiter quand je suis de passage dans la région ... Cet été donc je me suis rendu dans ce lieu de -perdition- culture et savoir ... J'ai craqué pour deux livres : la biographie de Patricia Kaas et "La maison des singes" de Sara Gruen.

 

Présentation de l'éditeur : Sam, Bonzi, Lola, Mbongo, Jelani et Makena ne sont pas des singes ordinaires. D'une intelligence très proche de celle des humains, ils sont capables d'amour et peuvent communiquer en langage des signes. Ces six bonobos font l'objet d'études très poussées dans un laboratoire de Kansas City, dirigé par Isabel Duncan, une jeune chercheuse qui nourrit plus d'affinités pour les animaux que pour les êtres humains. Mais lorsque, à la suite d'une explosion, les grands singes se retrouvent en liberté, objets des plus basses convoitises, Isabel est prête à tout pour les sauver. Même à se compromettre avec un séduisant journaliste, un végétalien aux cheveux verts et une star du cinéma à la retraite... Depuis toujours Sara Gruen se passionne pour la condition animale et son nouveau roman, extrêmement documenté, tour à tour drôle et émouvant, est aussi palpitant qu'un thriller. Peu de livres peuvent changer notre vision du monde, mais à la lecture de La Maison des singes, vous tomberez à jamais amoureux de ces lointains cousins, aussi fascinants que menacés.

Au cours d'un reportage dans un laboratoire, le jeune journaliste John Thigpen rencontre la chercheuse Isabel Duncan qui lui présente ses travaux sur six bonobos capables de dialoguer en langage des signes. A la suite d'une explosion au laboratoire, les singes disparaissent mystérieusement et réapparaissent peu de temps après dans un programme de télé-réalité qui suit, 24 heures sur 24, la vie des six bonobos dans une demeure située au Nouveau Mexique.

Isabel n'a alors plus qu'une seule idée, retrouver et libérer les bonobos. Pour cela elle devra faire alliance avec John Thigpen.

 


"La maison des singes" est un roman facile à lire, qui tient en haleine, avec de multiples rebondissements, de l'humour, de l'émotion, des intrigues secondaires.

Il est aussi très documenté sur la condition animale, les bonobos et la protection des grands singes.


Un bon moment de lecture.

 

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26 février 2011 6 26 /02 /février /2011 15:00

 

EN ATTENDANT NEW YORK, un roman de Mitali Perkins, paru aux Éditions Thierry Magnier, à partir de 14 ans ayant pour thème l'Inde, les traditions et la condition féminine.

Présentation de l'éditeur :

Asha, Reet et leur mère doivent aller vivre à Calcutta dans la famille de leur père, parti chercher du travail à New York. Bientôt, elles le rejoindront, c'est sûr. Les mois passent, loin de Dehli, rien n'est pareil, les filles ne font plus ce qu'elles aiment. Le départ pour New York est sans cesse reculé. La charge est lourde pour l'oncle qui les héberge. Il faut marier Reet. Un vieil homme se présente. Asha est désespérée pour sa soeur, elle va chercher une solution, la moins pire... 

 

Asha vit en Inde dans les années 70.  Elle vient s’installer chez son oncle à Calcutta avec sa jeune soeur et sa mère. Son père est parti à New York chercher du travail, dans quelques mois elles vont le rejoindre là-bas. Asha est un garçon manqué et elle supporte mal le poids des traditions. Depuis qu’elle est adolescente elle n’a plus le droit de jouer au tennis et de sortir comme avant. Un jour un courrier arrive de New York annonçant le décès de leur père. Cette triste nouvelle remet en question tous les projets d’avenir d’Asha et son espoir de devenir psychologue. Quant à sa soeur, il va falloir la marier rapidement. La mère tombe dans une profonde dépression et Asha se lie à son jeune et mystérieux voisin.


Asha représente tout à fait l’élan moderne d’un pays empêtré dans ses usages séculaires. Volontaire mais aussi réfléchie et respectueuse, la jeune fille est tout le temps obligée de biaiser pour parvenir à ses fins, ce qu’elle expose avec une sincérité touchante notamment dans ses carnets intimes. Le rythme lent de la vie domestique s’oppose au monde extérieur en mouvement, et c’est Asha qui parviendra à lier les deux pour faire évoluer la situation et libérer sa sœur, sa mère. On a l’impression qu’elle se sacrifie, même si on aussi peut supposer qu’aucune autre vie n’aurait pu lui convenir. Dramatique, à la fois proche dans les sentiments et ahurissant dans les faits, ce beau roman sur l’Inde du XXème siècle se lit d’une traite.

 

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 15:00

 

SILENCE ON IRRADIE, un roman de Christophe Léon paru aux Editions Thierry Magnier, à partir de 13 ans ayant pour thème les catastrophes nucléaires, la mort, le deuil.

 

Présentation de l'éditeur :

Un village à l'abri d'une centrale nucléaire. Sven se baigne en catimini dans le lac qui borde la centrale, l'eau y est très chaude malgré l'hiver. Un jour une explosion pétrifie tout. Sven, sa petite soeur Siloé et Grégoras, débile léger, survivent. Lorsque des chars, des hommes vêtus de combinaisons blanches arpentent le village à la recherche de survivants, les trois enfants se terrent. Ils restent au village, seuls.

Voilà un récit pétrifiant, un brin d'humour, beaucoup de tendresse pour les personnages. Une sorte de douceur amère se dégage de ce roman. 

 

Un village paisible, quelque part à l’est de l’Europe, tout près d’une centrale nucléaire, entouré d’une belle forêt de résineux. Un lac artificiel bordant le site ; l’eau y est délicieusement chaude et l’endroit désert. Les gens du village et de la ville proche, Nardyl, travaillent à la centrale.

Et puis un soir, c’est l’explosion, toute la région est touchée.

Lorsque l'armée commence à investir les lieux, Sven, sa soeur Siloé et Grégoras, l'attardé se cachent ... Pendant ce temps là, Yougor part à la recherche de l'institutrice dont il est amoureux ...

 

 

C'est un roman court d'une centaine de pages, qui bien sûr nous fait penser à la catastrophe de Tchernobyl et qui sensibilisera le lecteur au nucléaire ...

On s’attache aux enfants livrés à eux-mêmes tout en les sachant condamnés.

A lire, et à faire lire par nos ados, mais aussi par les adultes !

 

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3 octobre 2010 7 03 /10 /octobre /2010 15:00

C'est la rentrée et avec elle un retour à des lectures plus graves. Mes deux Allemagnes, roman d'Anne-Charlotte Voorhoev, nous parle d'un temps que les plus jeunes d'entre nous, n'ont pas connu.

Présentation de l'éditeur

En 1988, l'Allemagne est toujours divisée en deux pays distincts, séparés par une frontière réputée infranchissable. Lilly habite à Hambourg, en Allemagne de l'Ouest, et a tout juste treize ans lorsqu'elle se retrouve orpheline. Son père est décédé quand elle était petite, et sa mère vient de mourir d'un cancer. Elle rencontre pour la première fois sa tante Lena, qui a obtenu l'autorisation exceptionnelle de quitter l'Allemagne de l'Est, où elle vit, pour se rendre à l'enterrement de sa sœur. Lilly s'attache à cette femme douce et chaleureuse et reste inconsolable après son départ. Elle n'a plus qu'elle au monde, et Lena a dû repartir de l'autre côté du Mur... Confiée à une tutrice, qui compte la placer dans une famille d'accueil pour Noël, Lilly échafaude le projet insensé de rejoindre sa tante. Elle ignore alors que le mur de Berlin tombera le 9 novembre 1989. Une histoire poignante sur le travail de deuil, les secrets de famille et sur les séquelles que la longue séparation des deux Allemagne a laissées à ses habitants.

 

 

En ce 3 octobre 2010 où l'Allemagne fête les vingt ans de la réunification, ce livre tombe à pic pour des ados qui vous disent "Ah bon, il y avait un mur ???". Il raconte l'ex-Allemagne de l'Est à travers l'histoire de lIlly.

Sa construction complexe mêle les implications historiques et politiques et pourrait décourager le lecteur, pourtant on s'accroche pour découvrir la fin de l'histoire.

C'est un roman, malgré la gravité du sujet, plaisant à lire.

 

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1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 13:56

  Lecture d'été suite ... Lancée dans les romans historiques (pour lesquels j'ai un faible) j'ai lu : "La scribe" ...

Présentation de l'éditeur : Franconie, an 799, à la veille du sacre de Charlemagne. Fille d'un célèbre scribe byzantin, Theresa est apprentie parcheminière. Contrairement aux jeunes femmes de son âge, dont le rêve est de fonder une famille, elle n'aspire qu'à une chose : vivre parmi les livres. Mais un drame l'oblige à quitter sa ville et à se réfugier dans la cité abbatiale de Fulda. Là, elle devient la scribe du moine Alcuin d'York, véritable Sherlock Holmes en robe de bure. Alors que Theresa l'assiste dans ses enquêtes, elle découvre que, dans sa fuite, elle a emporté à son insu un précieux parchemin qui pourrait bien sceller l'avenir de la chrétienté... A travers les aventures de Theresa, jeune femme hors norme et attachante, La Scribe évoque une page décisive du christianisme au Moyen Age. Coups de théâtre, érudition et étonnants personnages fictifs ou réels sont les ingrédients de ce roman historique au rythme trépidant.
Biographie de l'auteur : Antonio Garrido est né en Espagne en 1963. Il enseigne à l'université de Valence. Passionné d'histoire, il a consacré sept ans de sa vie à l'écriture de La Scribe, son premier roman, best-seller en Espagne, pour lequel il a effectué de nombreuses recherches en Allemagne.

  Toujours un roman facile à lire qui nous plonge en plein Moyen-Âge ... On y découvre le secret de la fabrication des parchemins et le métier de scribe ... On y suit les aventures de Thérésa, jeune fille de caractère et en avance sur son temps ... J'y ai trouvé un petit coté "Au nom de la rose" d'Umberto Eco.

Roman bien documenté sur les moeurs et coutumes du Moyen-Age, je vous le recommande.

 


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1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 00:00

  Lecture d'été suite ... Enfin presque ... Ce livre est sur la pile des lectures de l'été  qui doivent être lues avant la rentrée ... Je l'ai terminé hier soir ...

Livre destiné aux collégiens mais que j'ai pris du plaisir à lire.

Présentation de l'éditeur : Conçu pour gagner, Renault suit à toute allure les traces de son père, vendeur de voiture. Sa trajectoire de collégien gonflé à bloc va prendre une tournure inattendue quand une surdouée fait irruption dans sa classe.

Pour la première fois, Renault, enfant gâté, élève studieux, adolescent solitaire, fils d'un aisé concessionnaire de la marque du même nom, obsédé par la réussite, est le second de la classe. Catastrophe ! Le père a perdu un pari avec un client et la première de la classe est une fille, petite, myope, pauvre, et intello ! Un plan de bataille est mis sur pied pour reprendre la tête de la classe ! Seulement le Petit Prince a dit que l'essentiel ne s'achète pas...
Roman drôle et grave à la fois, qui met l'accent sur la trajectoire d'un collégien d'aujourd'hui avec toute la pression que cela peu comporter parfois ... Roman violent aussi, en tout cas pour la fin, jusqu'où faut-il aller pour enfin se faire entendre pas ses parents ? Que reste-t-il de la relation parents-enfants quand tout est basé sur la réussite scolaire et que soudain tout vole en éclat ?

Roman à lire et à faire lire, histoire de porter un autre regard sur nos ados ...

 

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16 août 2010 1 16 /08 /août /2010 13:56

  Comme lecture d'été je choisis toujours des choses plus légères. En déambulant entre les rayonnages de ma bibliothèque, mon oeil a été attiré par un ouvrage pas tout à fait récent : "Pompéi" de Robert Harris paru en 2004.

Présentation de l'éditeur : Le temps est lourd en cette dernière semaine d'août de l'an 79, l'atmosphère étouffante dans la somptueuse baie de Naples où de nombreux Romains sont venus savourer les derniers jours de l'été. Une étrange odeur de soufre flotte dans l'air. Attilius, jeune ingénieur chargé de l'entretien du gigantesque aqueduc qui alimente la baie en eau potable, est inquiet. Son prédécesseur a disparu sans laisser de traces... et le Vésuve se réveille. Les signes du désastre se multiplient. Attilius pressent que la ville de Pompéi se prépare à vivre ses dernières heures et tente l'impossible pour sauver la vie de Corelia, la fille de son pire ennemi, dont il est tombé amoureux. L'auteur, en dramaturge raffiné, fait du lecteur le témoin d'un implacable compte à rebours.
 
Biographie de l'auteur : Robert Harris s'est fait un nom avec des thrillers haletants, méticuleusement documentés. Fatherland, Enigma, L'Archange, sont traduits dans le monde entier. Son dernier roman, Pompéi, a été en tête de toutes les listes de best-seller en Angleterre, aux Etats-Unis, en Allemagne, en Espagne et en Italie.

 

Roman facile à lire, traitant d'un sujet qu'on connaît tous  : la destruction de Pompéi. On apprend beaucoup sur les moeurs et habitudes de vie en l'an 79, l'importance de l'eau donc des aqueducs et on pense inévitablement au Pont du Gard. Les pages sur Pline sont remarquables, le compte à rebours sur l'éruption du Vésuve tient le lecteur en haleine. 

Bref un roman qui se lit d'un trait ...

 

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28 juillet 2010 3 28 /07 /juillet /2010 13:56

Dans mes lectures d'été il y avait "Incidences" de Philippe Djian.

Je vous laisse découvrir le 4me de couverture :


Une Fiat 500. Au volant, Marc. A côté de lui, sa plus jolie étudiante. C'est la nuit, ils foncent chez lui finir la soirée en beauté. Au petit matin, son goût prononcé pour les jeunes élèves de son cours d'écriture va soudain lui passer. A cause des routes de montagne ? Du néo-conservatisme ambiant ? Des crises de sa soeur ? Ou plutôt du charme des femmes mariées ? Marc ne saurait dire. Du moins, pour le moment. 
Une petite biographie de l'auteur

 Philippe Djian est l'auteur de nombreux romans aux Editions Gallimard parmi lesquels Frictions, Impuretés et Impardonnables (adapté prochainement au cinéma par André Téchiné). Il a également signé récemment une série littéraire en six épisodes intitulée Doggy bag. 


 
Marc est un prof d'université fort sympathique qui râle après les flics trop zélés, les empêcheurs de fumer en rond, etc ... Il est amateur d'étudiantes peu farouches et entretien une relation fusionnelle avec sa soeur (incestueuse ???). On le suit lentement dans sa descente aux enfers, où Philippe Djian pointe du doigt les blessures de l'enfance, et l'incapacité de Marc à en guérir.

C'est un roman à l'écriture fluide, souvent drôle qui se terminera mal.

 

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